La prometteuse rentrée de l’OPS, avec Tchaïkovsky et Holst.
« (…) Le programme s’achève sur l’apparition somptueuse des jeunes filles de la maîtrise de l’Opéra national du Rhin préparées par Luciano Bibiloni, qui conclue la pièce de manière séraphique, dans le halo acoustique de la coulisse.
(…) »
(DNA – Strasbourg, Christian Wolf, 10/09/2024)
“À vos marques, prêts, chantez ! ” : Bach chanté par tous, petits et grands
Cette année, la production labellisée “À vos marques, prêts, chantez ! ”, démultipliée, a quitté le Zénith pour se tenir au Palais de la musique, samedi 8 juin. Le confort acoustique a permis d’apprécier plus encore que par le passé le travail des chanteurs, professionnels et amateurs, accompagnés par l’Orchestre du Rhin et dirigés par Luciano Bibiloni. (…) »
« (…) Le Franco-argentin possède aussi un réel talent de direction. Les deux Magnificat de Vivaldi et de Bach en miroir déclinent ainsi leur style propre, offrent une scansion pleine de vitalité, des attaques rebondies et un choix de tempi alertes. Le chef peut s’appuyer pour cela sur un excellent orchestre professionnel. Plus étoffé que les années précédentes, il présente une superbe palette de timbres, trompettes, hautbois et flûtes en tête, à laquelle l’absence de sonorisation rend pleinement justice.
Très à l’aise au micro, Luciano Bibiloni présente lui-même le programme avec une touche d’humour. Il révèle enfin sa facette de compositeur dans un Kyrie monumental et généreux, inscrit dans le mouvement du spectralisme, et qui mobilise l’ensemble des forces chorales en un geste unique puissant et enveloppant. Une fois encore, on est impressionné par le travail réalisé sur l’année écoulée par la maîtrise de l’Opéra national du Rhin. Celle-ci incarne l’ensemble des parties solistes des Magnificat avec une justesse époustouflante. (…) »
« (…) les pupitres féminins en particulier ressortent. C’est timbré, superbe de présence, brillant dans le registre aigu. Les petits chanteurs s’illustreront sur Silent Is the Night tiré d’un arrangement de l’ Air de la suite n°3 par Jay Althouse. La spatialisation, si… baroque, prend ici tout son sens. (…) »
(DNA – Strasbourg, Christian Wolf, 13/06/2024)
« (…) Il Coro ha proposto un programma impegnativo e ha esordito con il Magnificat di Antonio Vivaldi, composto da diverse parti, al quale ha fatto seguito il Magnificat di J.S. Bach. In entrambi i brani il Coro ha dimostrato grande concentrazione, seguendo puntualmente le indicazioni del Maestro di coro, un suono omogeneo e curato e un’intonazione sicura e precisa in tutte le sezioni(…) »
« (…) Le Chœur a proposé un programme exigeant et commença par le Magnificat d’Antonio Vivaldi, composé de plusieurs parties, suivi du Magnificat de J.S. Bach. Dans les deux pièces, le Chœur a fait preuve d’une grande concentration, suivant ponctuellement les instructions du chef de Chœur, d’un son homogène et raffiné et d’une intonation sûre et précise dans toutes les sections(…) »
(La Voce del Popolo – Rijeka, Helena Labus Bačić, 24/04/2024)
« (…) Les chœurs vont offrir une prestation mystique et bouleversante. Ainsi, dans l’éternel Hallelujah bissé tout à la fin ; ou le sublime And the Glory of the Lord : les voix y tutoient le céleste ; ou encore dans And with his stripes weare healed , au thème subitement familier : Mozart s’en inspira pour composer le Kyrie de son Requiem. (…) »
(DNA /L’Alsace – Saint-Louis , Paul Munch, 12/01/2024)
« (…)Une dictature qui s’appuie sur l’image et la technologie, une princesse glaciale mais victime d’abus sexuel : l’Opéra du Rhin transpose le « Turandot » de Puccini dans une Chine moderne et oppressante. À découvrir à Strasbourg puis à Mulhouse jusqu’au 4 juillet.
(…)En foulards rouges, les enfants de la Maîtrise de l’OnR campent de très réalistes pionniers communistes, dans une chorégraphie qui semble tout droit sortie de la Révolution culturelle. « La présence des enfants est prévue par la partition, c’était une volonté de Puccini » explique le directeur de l’Opéra du Rhin, Alain Perroux.(…) »
(Franceinfo : culture, 16/06/2023)
Très beau reportage sur la production de l’opéra de Turandot de Puccini par l’OnR.
(France 3 Alsace, 15/06/23)
« (…)De même les chœurs combinés de l’Opéra national du Rhin et de l’Opéra de Dijon, auxquels s’ajoutent la Maîtrise de l’Opéra national du Rhin, brillent par leur rigueur, créant de très beaux effets spatiaux dans la première scène.(…) »
(forumopera.com, 13/06/2023)
« (…)Combinant les Chœurs de l’Opéra national du Rhin, de l’Opéra de Dijon et le chœur d’enfants à la remarquable justesse de la Maîtrise de l’Opéra national du Rhin, l’imposante masse chorale se montre capable autant d’exaltation que de subtilité voire de tendresse selon les moments.(…) »
(ResMusica, 13/06/2023)
« (…) Avec la Maîtrise de l’Opéra National du Rhin, placée sous la direction musicale et artistique de Luciano Bibiloni, ils participent hautement à la cohésion ressentie et à la qualité indéniable des parties chorales vitales dans cet ouvrage tout particulièrement. (…) »
(Olyrix, 10/06/2023)
« (…)C’est à elle [la maîtrise, ndla] que revient l’effet d’entraînement, astucieusement entretenu par le mixage, qui fait un focus presque constant sur le groupe de jeunes gens préparés à longueur d’année par Bibiloni dans les locaux de l’ancien grenier d’abondance, place Broglie.
La maîtrise chante tout au long de cette heure et demie de spectacle avec une précision remarquable. Si le répertoire traditionnel présente une structure assez simple avec ses multiples répétitions, quelques pièces savantes chantées en fin de programme par les Petits Chanteurs de Strasbourg révèlent des partitions ardues : telles les Trois chansons de Charles d’Orléans de Debussy, aux harmonies bien compliquées, et dont on entend parfaitement l’articulation du texte.
Les 400 enfants se tenant de part et d’autre de la scène apportent une touche séraphique et touchent par l’homogénéité de leur unisson. Leur interprétation des textes liés à l’enfance connaît un succès évident.(…) »
(DNA – Strasbourg, Christian Wolf, 12/06/2023)
« (…) Côté choral, on appréciera particulièrement la présence des enfants et adolescents de la maîtrise de l’Opéra National du Rhin, que Luciano Bibiloni a préparé avec le professionnalisme qui le caractérise : l’air « avec la garde montante » résonne avec autorité et toute précision nécessaire. (…) »
(DNA – Strasbourg, 8/04/2023)
« (…) Ils sont opportunément épaulés par la Maîtrise de l’Opéra national du Rhin, merveilleusement entraînés et angéliquement présents. (…) »
(forumopera.com, 06/03/2023)
« Vendredi 3 décembre, dans le cadre des Noëlies 2021, les Petits Chanteurs de Strasbourg – Maîtrise de l’Opéra national du Rhin, ont interprété l’une des œuvres phare du compositeur Georg Friedrich Händel à l’église protestante.
(…)
Le concert s’est achevé par un chant en commun. Plus de quarante choristes, l’ensemble instrumental et l’assemblée ont entonné « Es ist ein Ros entsprugen » sous la direction de Luciano Bibiloni. »
(DNA – Woerth, 06/12/2021)
« (…) Très bien préparés par Luciano Bibiloni, les enfants de la Maîtrise de l’Opéra national du Rhin sont parfaits tant dans leur interprétation scénique que dans leur justesse vocale. On regrette en conséquence que leur chœur de la « Garde montante » ne soit pas repris une seconde fois.(…) »
(Resmusica, Michel Thomé, 04/12/2021)
« (…) Saluons aussi au passage l’excellence du chœur de l’Opéra ( préparé par Alessandro Zuppardo), ainsi que des Petits Chanteurs de Strasbourg – Maîtrise de l’opéra national du Rhin (préparés par Luciano Bibiloni). L’homogénéité, l’équilibre et l’unité sont tout simplement exemplaires, au point que l’on se passe aisément du sur-titrage dans ces parties d’ensemble.(…) »
(Opera Online, Elodie Martinez, 2/12/2021)
L’émission de Stéphane Bern fait escale à l’Opéra de Strasbourg où il rencontre son directeur qui présente lui la Maîtrise.Voici l’extrait de l’émission.
(France 3, 12/12/21)
En écho à l’exposition du Musée d’Art Moderne de Strasbourg sur notre hymne national, l’Opéra national du Rhin a organisé un événement participatif : deux concerts ont réuni 900 choristes autour du Chœur et de la Maîtrise de l’OnR.
(Reportage France 3 Alsace 07/11/21)
Les Petits Chanteurs de Strasbourg – Maîtrise de l’Opéra national du Rhin ont rejoint le chœur du projet participatif « A vos marques, prêts,… Chantez ! » pour une manifestation chantante dans le parc des Contades à Strasbourg.
(Reportage France 3 Alsace, 11/04/21)
« La saison présente a été considérablement bouleversée par la crise sanitaire, mais ces perturbations ont été mises à profit pour explorer de nouvelles façons de pratiquer le chant et de rencontrer le public. Après un démarrage en septembre 2020 et la tenue de son traditionnel stage de rentrée, la maîtrise a en effet dû interrompre ses répétitions en présentiel avec l’entrée en vigueur du deuxième confinement. Mais l’existence de projets artistiques réalisés dans le cadre de productions professionnelles (« Hansel & Gretel » avec l’Opéra national du Rhin, les oratorios « Les Archanges » et « Le Colibri » avec l’Orchestre du Rhin) a finalement permis aux maîtrisiens concernés de poursuivre les répétitions de façon quasi-normale. Les Petits Chanteurs de Strasbourg – Maîtrise de l’Opéra national du Rhin ont ainsi été une des seules maîtrises d’enfants de France à maintenir une partie de son activité en présentiel. L’opéra « Hansel & Gretel » a, quant à lui, fait l’objet d’une captation diffusée sur les chaines télévisées locales.
Le confinement et le couvre-feu ont aussi amené la Maîtrise à davantage utiliser les outils de répétition virtuelle. Les Petits Chanteurs de Strasbourg sont aujourd’hui bien mieux armés pour travailler à distance et ainsi continuer à faire vivre leur art en toutes circonstances. Plusieurs vidéos mosaïques ont été réalisées, à l’occasion des fêtes de fin d’année notamment. La plus complexe d’entre elles fait également intervenir des chœurs étrangers ; elle a été réalisée en partenariat avec un Orchestre d’harmonie professionnel argentin, autour du thème du concert participatif de la saison.
La Maîtrise de l’Opéra national du Rhin fête cette année ses 20 ans. Deux décennies durant lesquelles la qualité artistique et le sérieux de la formation de ses jeunes chanteurs ont fait de la Maîtrise une référence dans la vie musicale à Strasbourg et en Alsace, où elle se produit dans de nombreux concerts. Elle exporte aussi son charme et la qualité de son répertoire ailleurs en France et à l’étranger, lors de tournées annuelles. (…) »
(Scenik, 31/03/2021)
Compte-Rendu de ce spectacle capté et retransmis en vidéo :
Sur la musique féerique, envoûtante (et inquiétante) de cette partition, deux enfants parcourent les rues de Strasbourg, admirent les sapins, décorations et commerces qui ont pu être sauvés pour les fêtes. Ils cheminent ainsi jusqu’à l’opéra, montent dans le foyer et s’y installent avec leurs camarades (eux aussi tous et toujours masqués), regardant l’orchestre sur les écrans de contrôle. Les Petits chanteurs de Strasbourg – Maîtrise de l’Opéra National du Rhin chantent ainsi synchronisés sans être dans la même pièce que l’Orchestre Philharmonique de Strasbourg, et ces deux enfants choristes mènent ainsi le téléspectateur par la main, depuis la triste réalité de notre univers Covid-19 vers celui féerique d’Hänsel et Gretel (incarnés et chantés sur scène par deux solistes lyriques éprouvés et testés). L’introduction à la captation et au spectacle est ainsi un passage du cauchemar au rêve, exactement comme le sera le spectacle lui-même. (…) »
(Olyric, 04/01/2021)
« (…)Musicalement, le spectacle est également une réussite. Le mérite en revient avant tout à Marko Letonja, à la tête d’un excellent orchestre de Strasbourg, qui préserve la clarté et la continuité du discours musical sans en gommer pour autant la richesse ni la luxuriance (merveilleux interludes orchestraux…). Bravo également aux Petits Chanteurs de Strasbourg et à la Maîtrise de l’Opéra national du Rhin pour leurs lumineuses interventions ! »
(Première loge, 12/01/2021)
« (…)La Maîtrise de l’Opéra National du Rhin, préparée par Cécile Bienz, et les Petits chanteurs de Strasbourg assurent pleinement leur fonction, aussi à l’aise dans le chant, rafraîchissant et à la belle portée, que dans leur jeu théâtral. Les spectateurs chanceux des premiers rangs se partagent les fauteuils avec les jeunes artistes, qui invectivent, demandent justice pour Amirah de façon convaincante dans leur placement de voix parlé autant que chanté. Leurs camarades sur scène assurent la fonction de dames de compagnie de la Princesse ou de méchantes petites créatures aux dents de requin sous les ordres du Prince flamboyant de l’oubli. L’ensemble des jeunes artistes est convaincu et convaincant, la synchronisation gestuelle très précise. (…) »
(Olyrix,Céline Wadoux,27/05/2019)
« (…) L’enregistrement live, lors de concerts à l’Auditorium de Strasbourg, est une indéniable réussite. L’image est claire et immédiate, singulièrement dans les séquences instrumentales restituées avec une rare précision, dont des basses bien présentes, et une large dynamique. Les voix sont saisies dans une acoustique plus ouverte, offrant des différences de perspectives, ce qui peut vouloir traduire une volonté de discrète mise en espace. Les chœurs, placés en gradin derrière l’orchestre, paraissent en retrait par moments, mais cet effet de profondeur de champ est utilisé avec doigté dans les grands ensembles, telle que la scène finale, pour permettre un intéressant élargissement du spectre sonore. (…) »
(on-mag.fr, 22/12/2019)
« Comme chaque année, le public a répondu présent au rendez-vous musical gratuit des sacrées journées à la grande mosquée de Strasbourg.
Dès 10h, des spectateurs de tous horizons, séniors ou parents accompagnés de jeunes enfants, avaient rempli l’espace de la grande salle de prière. Une partie d’entre eux, installée au balcon orné d’un verset du Coran, écoutera peu de minutes plus tard des pièces de Haendel, d’Allegri, et… l’Alléluia de Whitacre !
La maîtrise de l’Opéra du Rhin, sous la direction de Luciano Bibiloni, a donné dans cette prestation la pleine mesure de son travail et montré tout l’intérêt de mêler des voix juvéniles à un chœur d’hommes.(…) »
(DNA – Strasbourg , MSK, 05/02/2018)
« (…)Sur scène, la Maîtrise de l’Opéra national du Rhin et les Petits Chanteurs de Strasbourg se détachent sur un fond de lumières, aux couleurs tantôt bleu-violet ou rouge. Au bas de la scène, dans la salle, avaient pris place autour du directeur, l’Orchestre du Rhin avec ses instruments anciens ainsi que deux chanteurs solistes. Puis, installés en arc de cercle, dos tourné au public, venu nombreux assisté à cette soirée unique, une centaine de chanteurs des chorales du territoire : la Chorale Ste-Cécile et les enfants d’El-Sistema avec François Dardant de Bischwiller, les chorales de Kaltenhouse et de Haguenau, ainsi que quelques amateurs. (…)
L’argentin, Luciano Bibiloni, a dirigé les instrumentistes, chanteurs professionnels et amateurs. Le public a été conquis par la beauté de l’interprétation de plus de deux heures en applaudissant chaque intervention et tout particulièrement le vibrant chœur final de l’Alléluia qui a été repris en bis. Grâce aux nombreux choristes et une orchestration de haut niveau, le public a savouré une impressionnante œuvre intemporelle. »
(DNA – Bischwiller , 22/01/2018)
« (…) Quel mélomane n’a en effet jamais rêvé, de chanter le temps d’un concert et de faire corps avec un ensemble vocal et orchestral autour d’une œuvre majeure telle le Messie de Haendel ? Sous la houlette de Luciano Bibiloni, le charismatique directeur artistique des Petits Chanteurs de Strasbourg – Maîtrise de l’Opéra national du Rhin, installés eux dans le chœur, derrière les musiciens de l’Orchestre du Rhin et en face de rangées de choristes hommes, ce grand ensemble ainsi constitué -600 personnes au total- a réchauffé crescendo la cathédrale. »
(DNA – Strasbourg , CH. K, 14/01/2018)
« Dimanche, les petits chanteurs de la maîtrise de l’Opéra national du Rhin de Strasbourg étaient sur la scène de l’Auditorium du Musée Würth d’Erstein pour présenter des extraits du Messie de Haendel.
C’est dans une salle comble que les trente-cinq petits chanteurs de la Maîtrise de l’Opéra national du Rhin, garçons et filles âgés de 14 à 20 ans se sont produits dimanche à Erstein, sur la scène de l’auditorium du musée Würth. (…)
Toute la puissance vocale de ces jeunes chanteurs a pu être mesurée par les nombreux spectateurs. Une belle après-midi musicale d’un peu plus d’une heure, saluée comme il se doit par un tonnerre d’applaudissements de la part d’un public mélomane résolument conquis. »
(DNA – Erstein – Musée WÜRTH – Benfeld , 17/03/2017)
« Initiée l’an passé, la collaboration entre l’ensemble instrumental Volutes d’Étienne Bardon et la Maîtrise de l’Opéra National du Rhin dirigée par Luciano Bibiloni donnera lieu à deux concerts cette semaine.
Le programme prend chair autour de l’emblématique Rakastava de Sibelius, compositeur qui obtient les faveurs de Bardon. D’abord présenté pour orchestre à cordes, la pièce s’enrichit du chœur d’hommes pour se montrer sous un autre jour, bien plus tard dans la soirée. Sans perdre son caractère langoureux et intemporel.
Entre-temps, les adolescents – une quinzaine, âgés de 14 à 17 ans – auront chanté, non sans nostalgie, les Quatre chansons de Brahms, aussi connues sous le nom de cors et harpe.
Puis, sous la direction de Bibiloni, Tundra , du jeune compositeur norvégien Ola Gjeilo, en vogue aujourd’hui dans le monde du chant choral. Sa saisissante et puissante évocation des vastes horizons, sur de longues onomatopées, prendra le doux contre-pied du romantisme allemand, dans un style proche du minimalisme. (…) »
(DNA – Strasbourg , 13/05/2016)
« New-York aujourd’hui puis Boston jeudi et dimanche, les Petits Chanteurs de Strasbourg se produisent trois fois aux Etats-Unis cette semaine.(…) »
(DNA – Strasbourg ,12/04/2016)
« (…) Eclectique, polysémique et polyphonique, ce concert rassemble avec harmonie les quatre chœurs qui composent les Petits Chanteurs de Strasbourg – Maîtrise de l’ONR. Dirigés par Luciano Bibiloni, les jeunes interprètes font refluer temps et différents registres. Du Moyen-Age jusqu’à aujourd’hui, les voix au timbre aérien et subtil jonglent avec les langues (…) et retentissent d’étonnantes correspondances et résonnances entre les pièces de Pérotin, Gounod, Holst, Saint Saëns et Leonard Cohen. (…) »
(DNA, VEP., 19/12/2014)
« Le Messie de Haendel, un des événements forts du millénaire de la cathédrale.
La jauge de 800 places insuffisante, des centaines de personnes déçues refoulées à l’entrée (…)L’imposante œuvre de Haendel aura réchauffé corps et âmes (…) elle aura aussi permis à la fondation Passion Alsace de récolter des fonds pour deux associations (…) Au terme de deux heures pleines, le public se lève comme un seul homme et obtient un deuxième Hallelujah d’un ensemble de musiciens dense et de qualité. L’Orchestre du Rhin (…) mérite les éloges tant par son souci d’authenticité – les instruments d’époque – qu’en raison des conditions de jeu difficiles. (…) A son affaire dans une écriture polyphonique complexe, le chœur constitué articule nettement les départs fugués et rend audible le texte anglais. La clairvoyante direction de Luciano Bibiloni (…) assure une lecture liante. Les quatre solistes offrent de beaux moments d’émotion contenue (…) Un Messie titanesque. »
(DNA, Christian Wolff, 18/12/2014)
« (…) Le concert a attiré plus de deux cent mélomanes, venus à l’invitation de l’association de anciens et amis du Lycée Kléber de Strasbourg, présidée par Suzanne Biache (…) Ce concert choral, dont Noël a été le thème, a été placé sous la direction musicale de Luciano Bibiloni avec au piano Roselyne Koeniguer. La présentation du programme assurée avec beaucoup d’humour par le directeur lui-même en commençant par des extraits du « Messie » (…) Durant la deuxième partie du programme, l’émotion est allée crescendo avec l’interprétation de chants de Noël traditionnels (…) Dans la partie finale, les chœurs à nouveau réunis ont enchanté l’auditoire avec le catalan « El cant dels ocells », « I wonder as I wander » de John Jacob Niles et la sublime chanson de Leonard Cohen « Hallelujah »(…). Ce programme très éclectique (…) s’est terminé sous un tonnerre d’applaudissements saluant ainsi une prestation de très haute qualité (…) »
(DNA, G.R., 08/12/2014)
« (…) En première partie, ce sont des extraits du Messie, l’œuvre phare de Haendel qui est répartie sur trois volumes, la nativité, la passion et la résurrection. (…) Dès les premières notes on demeure subjugué par la beauté des voix, la parfaite harmonie entre les quatre voix, le superbe accompagnement instrumental, la direction discrète mais précise et efficace de Luciano Bibiloni. (…) Chaque interprétation dans un style flamboyant et des envolées propres à Haendel, est un régal.
Des chants de Noël d’ici et d’ailleurs sont au programme de la seconde partie. (…) On a ainsi le plaisir d’entendre deux noëls traditionnel catalans, un autre ukrainien et puis un Stille Nacht tout en sourdine, absolument admirable. (…) Le public est debout et réserve une ovation sans fin aux artistes demandant visiblement que l’on joue les prolongations. La maîtrise offre un nouveau volet de son talent avec un Alléluia plus contemporain, puis par l’interprétation simultanée de deux airs dont l’Ave Maria de Gounod, un exercice fort périlleux, mais qui a donné un résultat savoureux, d’une étonnante homogénéité.
Décidément du très grand art, ce dimanche, à l’église des Jésuites. »
(DNA, 21/11/2014)
« Die deutsch-französische Koproduktion [von Aboulkers Weltkriegsoratorium « 1918 – der Mann, der in den Krieg hinein taumelte », aufgeführt von den Kinder-und Jugendchören der Opera national du Rhin und des Freiburger Theaters,] zum Abschluss des Weltkriegsgedenkjahrs beeindruckt in der Schlichtheit ihrer Mittel. Pierre Spegt arbeitet mit einfachen szenischen Mitteln Schrecken und Leid des Kriegs heraus, ohne zu überzeichnen. Am stärksten ist das Schlussbild, wenn die Namen von Gefallenen verlesen werden und die Kinder nach und nach die Bühne des Großen Hauses des Stadttheaters verlassen. Luciano Bibiloni (Straßburg) und Thoms Schmieger haben die beiden jungen Chöre nicht nur ausgezeichnet präpariert, sondern auch zusammengeschweißt. Bibiloni leitet den Abend mit großer Übersicht, und das Philharmonische Orchester agiert mit mustergültigem Klang. Der Bariton Jocelyn Desmares realisiert den Männergesangspart mit naturalistischer Schärfe, Qiu Ying Dus feiner Mezzosopran zeichnet klare und weiche Konturen. Und Gautier Eich (in zeitgenössischer Soldatenuniform) gibt einen packenden zweisprachigen Erzähler. (…) »
(Badische Zeitung, Alexander Dick, 02.12.2015)
« Die Freiburger Aufführung des Oratoriums « 1918 – der Mann, der in den Krieg hinein taumelte » war einer der emotionalsten Momenten des Theaterjahrs. Großartig.
Wie schade, schade, schade, dass das Stück « 1918 – der Mann, der in den Krieg hinein taumelte », das nach der der ersten Aufführung am 11. November 2014 in der Opéra du Rhin in Straßburg am Sonntag im Freiburger Theater auf du Bühne kam, nach nur zwei Vorstellungen nicht noch einmal zu sehen sein wird. Denn was die “Petits Chanteurs de Strasbourg” und der Kinder- und Jugendchor des Theaters Freiburg gemeinsam mit dem Bariton Jocelyn Desmares, der Mezzo-Sopranistin Qiu Ying Du und den Schauspieler Gautier Eich aus dem Oratorium der Französin Isabelle Aboulker machten, was ein generationsübergreifender Schrei gegen den Krieg, dessen Grausamkeit und völlige Negierung des Wertvollsten, was wir haben – des Lebens. (…)
Die Kinder der beiden Chören, im Alter von ungefähr 8 bis 15 Jahren, hatten das schwierige Thema des Kriegs anlässlich des 100. Jahrestags des Ausbruchs des 1. Weltkriegs auf unglaubliche Weise während der Proben verinnerlicht und überzeugten auf der Bühne durch Präzision, Emotion, Mut und Disziplin. (…) Der rote Faden durch das Oratorium ist die gesungene und gesprochene Zweisprache zwischen einem Soldaten und seine Freundin – deren Liebe bereits durch den Krieg und den Tod gesprengt wurde. (…) Mit Texten von Céline, Appolinaire, Stefan Zweig, Jean Cocteau und anderen illustriert diese deutsch-französische Künstlergruppe in drei (!) Sprachen die Botschaft – zieht nicht in den Krieg! (…)
Dass dies nie wieder zwischen Deutschen und Franzosen passieren darf, das ist es, was die deutschen und französischen Kinder vermitteln. (…) »
(Eurojournalist, Kai Littmann, 01/12/2014)
Coproduit par l’Opéra national du Rhin et le Theater Freiburg, l’oratorio-opéra d’Isabelle Aboulker 1918, l’homme qui titubait dans la guerre, commémorait mardi le 11-Novembre avec tristesse mais sans pathos.
« Sur scène, plus de 70 enfants des Petits Chanteurs de Strasbourg – maîtrise de l’Opéra national du Rhin et des Kinder- und Jungendchor des Theater Freibourg, tous en noir, en bloc ou en colonnes prêtes au combat, parfois éparpillés sur le sol tels des corps déchiquetés après l’explosion d’un obus, comme semble l’indiquer la mise en scène de Pierre Spegt (…)
Les deux solistes Qui Ying Du (mezzo soprano) et Jocelyn Desmares (chaleureux et très nuancé baryton) chantent l’ironie et l’absurdité de la guerre, les cris des officiers, le rire sardonique de la « faucheuse », parfois en contrepoint des enfants. Et pour accompagner cet éventail vocal hors du commun, l’orchestre philarmonique de Fribourg, tout en demi-teinte, s’invite dans la fosse, mené par le directeur de la maîtrise Luciano Bibiloni. (…)
Le spectacle mérite les louanges par sa qualité créative et son interprétation, et les très longues minutes d’applaudissement saluent le poignant résultat du travail transfrontalier ».
(DNA, 14/11/2014)
« Ce que l’Opéra National du Rhin à Strasbourg et le Theater Freiburg ont mis sur pied avec les «Petits Chanteurs de Strasbourg» et le «Kinder -und Jugendchor» du Theater Freiburg mérite à ce que l’on s’y arrête un moment. Les enfants, épaulés par deux excellents chanteurs et un acteur-narrateur, ont livré une manifestation contre la guerre et pour la paix, démontrant toute la désolation de la guerre et, remarquable, ils ont décliné ce cri contre la guerre en langue française, en langue allemande et en langue anglaise. Magnifique. »
(Eurojournalist, 13/11/2014)